Ce jeudi 24 janvier, les chauffeurs de bus du TEC Liège-Verviers sont repartis en grève après l’agression de trois de leurs collègues. Les dépôts de Robermont et de Rocourt se sont croisés les bras jusqu’au lundi sui-vant, mettant à l’arrêt 104 lignes de bus sur 204. En Wallonie comme à Bruxelles, il ne se passe pas une semaine sans qu’un chauffeur soit insulté ou agressé. Et les directions ne font rien sinon de renvoyer vers la police. Ça ne changera rien. Là-bas comme ici, il faut plus de moyens humains. Car plus on sera nombreux, plus on pourra se sentir en sécurité.