Mestdagh menace de licenciements massifs si son plan de restructuration n’est pas accepté : suppression de 340 emplois, flexibilité et polyvalence accrues avec une prime dérisoire, ouverture le dimanche, etc.
Mestdagh prétend perdre de l’argent, ce qui est impossible à vérifier tant les comptes des grandes entreprises sont rendus volontairement opaques pour cacher aux travailleurs et à l’opinion publique où va l’argent. Mais quand bien même ce serait vrai, ce n’est pas aux travailleurs de payer les revers du marché, l’incompétence des dirigeants ou surtout l’appétit insatiable des actionnaires pour les profits. Ce sont ces derniers justement qui doivent être forcés de payer avec leur fortune pour le maintien de l’emploi et des salaires.