Les jours passent et les morts causées par la police ne cessent de s’accumuler. Après Mawda, Chovanec et Adil, elle se couvre les mains du sang d’Ibrahima, décédé au commissariat après avoir été arrêté parce qu’il filmait une intervention policière à l’encontre de migrants. Comme d’habitude, une enquête interne est menée dans l’obscurité la plus totale et avec une lenteur calculée. Pendant ce temps, certains policiers, anonymement, lancent des rumeurs scandaleuses à propos du jeune afin de le discréditer pour couvrir leurs crimes racistes.