Du sang sur le ballon

Depuis l’ouverture des chantiers de la coupe du monde au Qatar en 2010, plus de 6 500 travailleurs y ont trouvé la mort. Forcés de travailler sous un soleil de plomb plus de 60 heures par semaine et pour des salaires de misère qui ne sont pas toujours versés, de nombreux ouvriers suent sang et eau afin de permettre aux patrons de la construction d’honorer les juteux contrats qu’ils ont signés. 

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