La violence dans notre société s’amplifie. Le chômage, les bas salaires et le manque de perspectives provoquent de la frustration et de la colère. Et ce sont ceux qui sont en première ligne dans les métiers de contact qui la subissent au quotidien. Début septembre, une femme a cassé les vitres d’un 89 et des jeunes s’en sont pris au conducteur en lançant un pavé contre le 53. Et cela, c’est le peu de ce qui est rapporté… La direction de la Stib ne peut pas changer la société, mais elle peut faire en sorte que nous ne soyons pas tous seuls face à cette violence. Il faut des accompagnateurs sur chaque bus ! Comme c’est le cas dans d’autres pays.