Plusieurs accompagnateurs de train ont débrayé vendredi dernier. Ils protestaient contre la décision unilatérale de la SNCB de retarder le paiement des heures supplémentaires prestées. Cela fait des années qu’elles s’accumulent sans que la société ne cherche à y remédier. Au lieu d’embaucher du personnel supplémentaire, la direction préfère exploiter ceux déjà occupés. Et sans les payer dans les temps, par-dessus le marché. Cela ne peut plus durer.