La pognon d’abord, la qualité après

Pour réaliser ses économies, la direction de la Stib a diminué les fréquences. On l’a bien senti passer ! Les temps de régulation sont réduits, les breaks aussi. C’est l’essuie-glace entre les terminus ! Les temps de parcours ont été rognés et le retard est devenu structurel. La ponctualité et la qualité des transports, c’est bien le cadet des soucis de la direction générale. Ce qui compte pour elle, c’est uniquement le pognon qu’elle économise.

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