La politique d’économies de bouts de chandelle dans les ateliers amène les mécanos à prendre des pièces sur un véhicule pour en réparer un autre. Pour le moment, la plupart des bus sont nouveaux et encore sous garantie et ce phénomène de cannibalisme est temporairement en recul. Mais pour les trams et les métros, on continue de faire de la récup’ comme dans le tiers-monde…