À Brussels Airlines, le personnel de cabine craque sous le poids des nouveaux horaires imposés par la direction. Les actionnaires souhaitent rattraper les pertes occasionnées par les annulations de vols du début d’année en augmentant la charge de travail. Et ça, sans aucune embauche ! Après des mois de chômage forcé et de salaires rabotés, les travailleurs n’ont pas à accepter des horaires à rallonge pour faire à nouveau décoller les profits. Pour se faire respecter, il faudra montrer à ces messieurs que sans les travailleurs les avions ne volent pas !