Début mars, deux banques américaines ont fait faillite. Quelques jours plus tard, c’était le tour du Crédit Suisse, une des 30 plus grandes banques du monde. Malgré les déclarations rassurantes de tous les chefs de gouvernement, et leurs promesses de financements publics quasi illimités, personne ne sait si cette crise va se généraliser à l’ensemble du secteur bancaire. Pas même les capitalistes eux-mêmes. Car le capitalisme est un système économique absurde et incontrôlable, et il est régi seulement par la recherche du profit immédiat de quelques-uns.