Le jeudi 14 novembre, 400 chauffeurs de taxis utilisant l’application Uber sont partis en grève. Ils protestent contre la commission de plus de 25 % que la société leur soutire à chaque course. Le système mis en place par la multinationale américaine lui permet en plus de les mettre à tout moment en concurrence. À la fin, les chauffeurs prestent des horaires à rallonge pour un revenu de misère. Dans la course aux profits, le patronat u-beurré n’hésite pas à renouveler les pratiques des débuts du capitalisme. Il reste aux travailleurs à renouer avec les siennes : les grèves !