Le futur contrat de gestion de la SNCB prévoit une nouvelle hausse des tarifs, une baisse du nombre de trains, la fermeture de guichets et de gares. L’augmentation des prix dépasse l’inflation jusqu’à 4%, le prix augmentant notamment en fonction des horaires. Le service de 7 heures à 21 heures n’est plus garanti que sur les grandes lignes. Plusieurs gares sont vidées de leur personnel. Payer toujours plus cher un service à la collectivité de plus en plus dégradé, voilà la seule évolution possible en régime capitaliste. Pour développer les transports en commun en un instrument de liberté pour tous, il faudra que les travailleurs arrachent la direction de la société à la bourgeoisie capitaliste.