Les 14 et 17 juin dernier, nombreux furent les soignants à entrer en grève et à montrer leur colère. Le mouvement a tellement bien été suivi que les directions d’hôpitaux et l’État ont fait appel à la police pour réquisitionner des soignants de force ! Eh oui, sans les travailleurs, plus rien ne fonctionne. Mais, plutôt que de mettre la main à la poche pour mettre fin à une situation dont ils sont responsables, l’État et les patrons préfèrent utiliser la force et la contrainte.