Rien de démocratique dans ce système de « notes » confidentielles qui doivent servir à mettre d’accord les partis sur un programme de gouvernement. C’est à travers le refus du CDH qu’on apprend que De Wever laissait la porte ouverte aux attaques contre la sécu, à la suppression de l’indexation des salaires, au report de l’âge de la pension au-delà de 65 ans. De l’autre côté, la NVA ne s’engage pas à taxer les plus-values financières. Tout cela n’est pas étonnant de la part d’un parti qui défend ouvertement les intérêts du patronat.