Au programme du gouvernement Michel il y a le service minimum en cas de grève. L’attaque commence à la SNCB où la direction envisage de maintenir au travail entre 20 et 40% des cheminots ! Autrement dit la grève deviendrait bien illusoire. Les syndicats refusent et on voit mal quel épouvantail la ministre pourrait agiter pour les faire changer d’avis. Quoique Gallant soit apparemment prête à dire n’importe quelle ânerie pour justifier les économies à la SNCB y compris de menacer du « décès » de l’entreprise publique si les travailleurs refusent de se serrer la ceinture.