Chaque jour, des bus de la Stib sortent des dépôts avec des avaries.
La direction prétend qu’elle privilégie la qualité à la quantité mais, en réalité, elle impose des quotas aux brigadiers d’atelier. Pour que les bus roulent normalement, il faudrait faire toutes les réparations qui sont nécessaires. Dans les faits, seule l’avarie pour laquelle le bus est venu à l’atelier est réparée et il repart bien qu’il ait d’autres problèmes. Même s’il tombe en panne 5 minutes après être sorti, le quota est atteint. C’est le règne de l’absurdité bureaucratique.
Pour éviter ce type de problème, il faut plus de mécaniciens pour réparer toutes les pannes et c’est tout !