Après plus d’une année d’une crise que les travailleurs ont lourdement portée sur leurs épaules, les patrons ont déclaré ne pas vouloir leur accorder plus de 0,4% d’augmentation salariale sur les deux prochaines années. Ces privilégiés, qui ont bénéficié et qui bénéficient toujours du soutien financier indéfectible des gouvernements, qui ont pillé les caisses publiques, s’accrochent à chaque miette de leur profits, au détriment des travailleurs, ceux-là mêmes qui, au prix de leur santé, édifient leurs richesses. Ce mépris finira par leur coûter cher.