Ce 1er décembre, la SNCB a fermé définitivement 44 guichets de gare, soit un tiers de ceux encore ouverts. En l’absence de ce service, les navetteurs n’auront plus d’autre choix que d’utiliser les automates. Pour peu qu’ils ne soient pas en panne, comme c’est déjà très souvent le cas. Quant aux usagers les plus affectés par la fracture numérique, ce sera le chemin de croix. La SNCB justifie la mesure au nom de sa rentabilité. Et tant pis pour ceux qui, âgés ou handicapés, vont se retrouver à quai.