Ateliers en surcharge

La charge de travail dans les ateliers de la Stib s’est fortement accrue ces dernières années. Une partie des agents est partie en night shift et il n’y a pas assez monde pour s’occuper de tout. Les entretiens sont en retard… Il y a des bus qui restent à l’arrêt très longtemps, faute de main d’œuvre pour les réparer. On n’a rien sans rien, tout le monde le sait, y compris le patron, mais pour lui, tant pis si la flotte se détériore. Il a fait son choix : celui des économies à courte vue.

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