Dimanche 27 mars, alors que toute les manifestations avaient été interdites, la police a laissé 400 hooligans manifester à la Bourse. Ces crapules ont occupé la rue avec leurs saluts nazis et leurs slogans racistes. Cela montre qu’il n’y a rien à attendre de l’Etat pour s’en prendre aux fascistes – Bart de Wever, dont le parti est au gouvernement, ne les a pas applaudis, mais c’est tout comme. Les discours populistes de la NVA et des libéraux du MR nourrissent ces mouvements et il n’est pas dit que cela ne se reproduise pas.
Savoir qui va occuper la rue et le devant de la scène, de l’extrême droite ou des travailleurs, est un enjeu de la plus grande importance.