Galant, protégée de Michel, a manifestement menti, favorisé ses petits copains et n’a de cesse d’exprimer tout son mépris pour les travailleurs de l’administration. La ministre de la mobilité montre de manière flagrante que ce qui l’anime, c’est de servir les intérêts du patronat et des riches, et sans doute aussi le goût du pouvoir. Caricature du libéralisme, Galant écarte l’administration au profit d’une société de conseils pour définir le plan de gestion de la SNCB et y prévoit une augmentation de la productivité de 5%, entre autres en ne remplaçant qu’un départ à la retraite sur cinq. La seule chose qui dérange un tant soit peu le MR dans cette histoire, c’est que Galant manque de discrétion !