Avec la SNCB, tous les travailleurs sont perdants : les cheminots doivent faire le boulot avec moins de personnel, les usagers sont entassés dans des trains bondés toujours en retard, et la carte de famille nombreuse va être supprimée. Le chemin de fer a été un service public chouchouté tant que le patronat l’utilisait pour transporter ses marchandises. Aujourd’hui, ils préfèrent les camions.