Le très réactionnaire Francken à beau dire hypocritement qu’il est très content que les bénévoles quittent le camp Maximilien, ce ne sont pas les 500 places déjà occupées au WTC qui permettront de loger les centaines de personnes qui continuent à vivre dehors.
Théo Francken nie l’évidence, qui va lui revenir dans la figure. A moins que les dizaines de citoyens qui proposent d’accueillir des demandeurs d’asiles (150 ont déjà trouvé un gite) ne lui sauvent encore une fois la mise.