L’augmentation du nombre de colis et les absences liées au Covid accentuent la charge, qui était déjà bien lourde, dans les bureaux et les centres de tri de Bpost. A force de réduire le nombre de travailleurs au minimum et d’accepter un maximum de colis pour faire gonfler les profits, la moindre secousse est ressentie durement par les travailleurs déjà épuisés en temps normal. Les débrayages se sont multipliés pour exiger de nouvelles embauches et limiter le travail non-essentiel, comme la distribution de pub, mais la direction fait la sourde oreille. Il faudra probablement taper plus fort, mais les travailleurs sauront faire passer leur message.