Le patron de Ryanair digère mal que les salariés aient refusé toute baisse de salaire. Il voudrait qu’ils soient « solidaires » en ces temps de crise, et qu’ils acceptent de rogner leurs salaires afin de soigner le compte en banque de ce groupe riche à milliards. Les généreuses aides de l’État n’ont pas suffi à l’appétit des actionnaires et ils veulent aussi faire les poches des travailleurs et, pour cela, ils menacent d’en licencier 174. Ces derniers ont déjà su répondre aux attaques de la direction et lui faire mordre le tarmac. Elle n’a pas retenu la leçon, il faudra la lui redonner !