AIP : des miettes et des promesses

Les partis au gouvernement ont trouvé un accord sur la question de l’AIP. Les laquais gouvernementaux ont bien écouté leurs maîtres. Sans surprise, leur « compromis » reprend trait pour trait les revendications patronales : pas plus de 0,4 % d’augmentation salariale et pas de modification du salaire minimum. Pour couronner l’injure, les entreprises qui ont fait de juteux profits pendant la crise, sont autorisées à verser une prime unique de 500€… sur base volontaire et sous forme de chèques consommation. On pourrait en rire si ce n’était pas aussi insultant.

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