Si c’était l’intérêt collectif qui était poursuivi, les contrôleurs pourraient être réaffectés à des tâches utiles, sur le réseau, dans les ateliers ou les bureaux.
Des accompagnateurs pourraient par exemple les aider à gérer les flux des passagers et faire face aux situations difficiles pour éviter les agressions. Cela diminuerait la charge du travail et améliorerait la qualité des transports.