Archives pour la catégorie Stib

Des planchettes dégueulasses

Il y a toujours des problèmes avec les planchettes. Sur le 42, pour le moment, on fait jusqu’à 9 voyages ! Et sur le 79, de 6 à 7 ! Le 59 est bourré du matin au soir, couvre-feu ou pas, et le tenir sur plusieurs voyages, c’est crevant. Quant au 58, la direction a décidé de diminuer les temps de régulation : 13 minutes au lieu de 20 à Yser ! Avec ces planchettes pourries, la direction augmente notre charge de travail au lieu d’augmenter le nombre de bus et de chauffeurs.

Y en a marre des coupés !

Il y a de plus en plus de problèmes avec les services coupés à Haren. Certains d’entre nous se retrouvent parfois avec quatre services coupés par quinzaine ! Le programme qui les répartit ne fonctionnerait pas bien ? Eh bien, il faut le régler ! Mais ce qu’il faudrait vraiment, c’est supprimer complètement les services coupés en engageant plus de chauffeurs.

Ces bus, c’est du brol

Les nouveaux bus Iveco et Volvo ont de nombreux défauts. Il y a de la rouille, des infiltrations d’eau, des problèmes avec les sièges conducteurs… Et c’est du neuf, faut pas demander quand ça va s’user ! La direction achète du matériel de mauvaise qualité pour faire des économies et le fait réparer sous garantie. Les techniciens Iveco et Volvo sont des habitués des dépôts. Finalement, la direction se fout pas mal des travailleurs et des usagers ; son rôle est de réduire les dépenses au maximum.

Un faux problème

La ministre de la mobilité flamande a annoncé vouloir supprimer les annonces en français dans les véhicules de la Stib lorsqu’ils roulent en région flamande. Elle surfe ainsi sur un nationalisme flamand nauséabond qui n’a pour autre but que de diviser les travailleurs.

Crise Covid : l’opacité la plus totale

Encore deux cas de Covid-19 dans les ateliers à Haren… Aucune mesure n’a été prise. Aucun dépistage supplémentaire, aucune quarantaine pour les collègues qui ont été en contact avec eux. La direction continue à considérer notre santé comme quantité négligeable… En limitant la communication au minimum sur les cas, elle cache sciemment l’ampleur du problème et continue à tous nous mettre en danger.