Parmi les travailleurs les plus pauvres, deux sur trois ont dû reporter ou renoncer à une consultation médicale ou à un médicament en 2023, car ils n’avaient pas les moyens de les payer. Ce n’est pas une fatalité que les soins de santé ne soient pas accessibles à tous. C’est la conséquence de l’appauvrissement général des travailleurs et c’est une question de choix politiques. Plutôt que de fabriquer des armes de destruction massive, les soins pourraient être gratuits pour tous.
Archives pour la catégorie Belgique
Ce sont les riches qui détruisent la planète
Un récent rapport d’Oxfam indique qu’en Belgique, le pourcent le plus riche de la population émet autant de gaz à effet de serre que les 15% les plus pauvres. Leur consommation, en moins d’une semaine, est responsable d’une pollution équivalente à celle de plusieurs mois pour la population moyenne. Pourtant, ce sont eux qui nous font la morale, à grand renfort de campagnes et de publicités, pour nous faire croire que ce serait notre faute si la terre se consume. C’est leur organisation sociale qui pollue et qui détruit la planète, c’est elle qu’il faut renverser.
Patrons boulimiques… aux profits
Les patrons de l’industrie alimentaire pleurnichent auprès du gouvernement pour qu’il sauve « leur rentabilité et leur compétitivité ». Difficile de s’émouvoir, ils rackettent les petits agriculteurs et tondent nos salaires avec l’inflation depuis plus de deux ans! Leur chiffre d’affaires a bondi de plus de 24% en 2022 pour s’élever à 75,6 milliards. Mais pour continuer à faire grimper les taux et satisfaire les actionnaires, il faudrait faire baisser leur facture d’électricité, leurs impôts, réduire les exigences alimentaires et les salaires des travailleurs qui produisent leurs profits. Ils voudraient continuer à empoisonner, à rançonner et à exploiter en toute liberté, tout ça pour se goinfrer encore et encore.
Des demandeurs d’asile toujours à la rue
Ce jeudi 11 janvier, un huissier a procédé à une saisie au cabinet de la secrétaire d’état à la migration de Moor (CD&V) condamnée à 9 000 reprises pour non-assistance à des candidats à l’asile. En attendant, des centaines d’entre eux continuent à rejoindre les rangs des sans-abris dont les politiciens font mine de se soucier en ces temps de grands froids. Pas de quoi émouvoir pour autant la secrétaire d’état qui, non contente de continuer à ignorer ses obligations en matière d’accueil, vient de concocter un nouveau code de lois répressives contre les migrants.
La rue c’est la mort
Début janvier, un homme de 40 ans a été retrouvé mort dans une rue d’Ixelles. Il dormait à la rue depuis un certain temps déjà. Suite au grand froid, plusieurs communes ont ouvert des centres d’urgence pour pouvoir héberger les sans-abris pendant quelques nuits. Dès que la température repassera au-dessus de 0 degrés, ils retourneront à la rue affronter le froid, le manque d’hygiène et la violence quotidienne. Que vaut une société qui laisse les plus faibles d’entre nous mourir, sans soins, sur le bord des trottoirs ?
Une société à renverser !
Une récente étude menée par Sciensano démontre que ceux qui vivent dans des quartiers pauvres ont deux fois plus de risque de mourir avant 75 ans. Rien de neuf là-dedans. De façon constante depuis que l’on calcule l’espérance de vie, on constate que ceux qui vivent le moins bien sont ceux qui meurent le plus tôt. Dans une société divisée en classes sociales, qui repose sur l’exploitation, il ne peut pas en être autrement. Les mesures prises par les politiciens ne sont que des pansements sur une jambe de bois. Pour lutter efficacement contre la pauvreté, c’est cette société qu’il faut abattre.
Des demandeurs d’asile toujours à la rue
Ce jeudi 11 janvier, un huissier a procédé à une saisie au cabinet de la secrétaire d’état à la migration de Moor (CD&V) condamnée à 9 000 reprises pour non-assistance à des candidats à l’asile. En attendant, des centaines d’entre eux continuent à rejoindre les rangs des sans-abris dont les politiciens font mine de se soucier en ces temps de grands froids. Pas de quoi émouvoir pour autant la secrétaire d’état qui, non contente de continuer à ignorer ses obligations en matière d’accueil, vient de concocter un nouveau code de lois répressives contre les migrants.
La rue c’est la mort
Début janvier, un homme de 40 ans a été retrouvé mort dans une rue d’Ixelles. Il dormait à la rue depuis un certain temps déjà. Suite au grand froid, plusieurs communes ont ouvert des centres d’urgence pour pouvoir héberger les sans-abris pendant quelques nuits. Dès que la température repassera au-dessus de 0 degrés, ils retourneront à la rue affronter le froid, le manque d’hygiène et la violence quotidienne. Que vaut une société qui laisse les plus faibles d’entre nous mourir, sans soins, sur le bord des trottoirs ?
Une société à renverser !
Une récente étude menée par Sciensano démontre que ceux qui vivent dans des quartiers pauvres ont deux fois plus de risque de mourir avant 75 ans. Rien de neuf là-dedans. De façon constante depuis que l’on calcule l’espérance de vie, on constate que ceux qui vivent le moins bien sont ceux qui meurent le plus tôt. Dans une société divisée en classes sociales, qui repose sur l’exploitation, il ne peut pas en être autrement. Les mesures prises par les politiciens ne sont que des pansements sur une jambe de bois. Pour lutter efficacement contre la pauvreté, c’est cette société qu’il faut abattre.
Ça chauffe chez De Lijn !
La grève a commencé lundi 19 janvier à Asse. Mercredi, elle s’étendait à Dilbeek, Grimbergen, Londerzeel, Meerbeke et Leerbeek. Et le vendredi, elle s’étendait à Louvain et Druivenstreek. La direction en dit le moins possible sur les raisons de la grève mais les syndicats laissent filtrer les problèmes que posent les méthodes de management de la direction et en particulier l’attitude des chefs à l’égard des travailleurs. Ces derniers ont bien raison de ne pas se laisser faire !